Titre : | Les pâtres de la nuit | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jorge Amado (1912-2001), Auteur | Editeur : | Paris : Stock | Collection : | Le Livre de poche num. 5067 | Importance : | 1 vol. (469 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 17 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-253-01861-9 | Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | Salvador de Bahia. Quelque part dans ses bidonvilles, une poignée d’hommes et de femmes aiment, se révoltent, prient des dieux étranges, moitié chrétiens moitié païens, font le commerce des femmes. Ils se connaissent depuis leur enfance : le caporal Martim et ses cohortes de maîtresses, l’Ygrec, Tiberia la tenancière et son mari, fabricant de cierges pour la paroisse, la crinière blanche du Coq Fou. Le lien qui les unit est plus fort que tout, le mariage, la pauvreté, les promoteurs en quête de terrains bon marché, et se renoue chaque soir autour d’une bouteille de cachaça. Dans ce monde qui nous rappelle les univers magiques de Gabriel Garcia Marquez, le malheur n’est que de passage. C’est qu’il en faut peu, au fond, pour vivre dans l’honneur : quelques planches de bois, le respect des anciens, la crainte des dieux. Alors, notre monde peut bien s’agiter. Les politiciens peuvent bien s’emparer pour quelques semaines de la vie étrange et si douce de ce quartier. Seuls sont éternels les héros indélogeables de ces ruelles baignées de poussière et de soleil, qui nous feraient oublier, à nous autres drogués du confort, que la misère nous est tellement insupportable. |
Les pâtres de la nuit [texte imprimé] / Jorge Amado (1912-2001), Auteur . - Paris : Stock, [s.d.] . - 1 vol. (469 p.) : couv. ill. ; 17 cm. - ( Le Livre de poche; 5067) . ISBN : 2-253-01861-9 Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | Salvador de Bahia. Quelque part dans ses bidonvilles, une poignée d’hommes et de femmes aiment, se révoltent, prient des dieux étranges, moitié chrétiens moitié païens, font le commerce des femmes. Ils se connaissent depuis leur enfance : le caporal Martim et ses cohortes de maîtresses, l’Ygrec, Tiberia la tenancière et son mari, fabricant de cierges pour la paroisse, la crinière blanche du Coq Fou. Le lien qui les unit est plus fort que tout, le mariage, la pauvreté, les promoteurs en quête de terrains bon marché, et se renoue chaque soir autour d’une bouteille de cachaça. Dans ce monde qui nous rappelle les univers magiques de Gabriel Garcia Marquez, le malheur n’est que de passage. C’est qu’il en faut peu, au fond, pour vivre dans l’honneur : quelques planches de bois, le respect des anciens, la crainte des dieux. Alors, notre monde peut bien s’agiter. Les politiciens peuvent bien s’emparer pour quelques semaines de la vie étrange et si douce de ce quartier. Seuls sont éternels les héros indélogeables de ces ruelles baignées de poussière et de soleil, qui nous feraient oublier, à nous autres drogués du confort, que la misère nous est tellement insupportable. |
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