Titre de série : | Blacksad., 1 | Titre : | Quelque part entre les ombres | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Juan Diaz Canales (1972-....), Auteur ; Juanjo Guarnido (1967-....), Illustrateur | Editeur : | Paris : Dargaud | Année de publication : | 2000 | Collection : | Blacksad. num. 1 | Importance : | 48 p. | Présentation : | ill. en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 30 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-205-04965-7 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 741.5 BD | Résumé : | "Il y a des matins où l'on a du mal à digérer son petit-déjeuner. Surtout si on se retrouve devant le cadavre d'un ancien amour."
Dès la première case, le ton est donné. Nous sommes dans un polar. Avec les ingrédients habituels: un meurtre, une grande ville américaine rongée de l'intérieur, une belle poupée salement amochée. Jusqu'au détective privé - un chat baptisé Blacksad - qui contemple, désabusé, l'agitation de la grande ville en soulevant légèrement le store. Bref, du classique, se dit-on. C'est à moitié vrai. L'intrigue reste en effet dans la grande tradition du film noir. Mais le graphisme, lui, nous cueille comme un méchant uppercut au détour d'une ruelle sombre. |
Blacksad., 1. Quelque part entre les ombres [texte imprimé] / Juan Diaz Canales (1972-....), Auteur ; Juanjo Guarnido (1967-....), Illustrateur . - Paris : Dargaud, 2000 . - 48 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. - ( Blacksad.; 1) . ISBN : 978-2-205-04965-7 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 741.5 BD | Résumé : | "Il y a des matins où l'on a du mal à digérer son petit-déjeuner. Surtout si on se retrouve devant le cadavre d'un ancien amour."
Dès la première case, le ton est donné. Nous sommes dans un polar. Avec les ingrédients habituels: un meurtre, une grande ville américaine rongée de l'intérieur, une belle poupée salement amochée. Jusqu'au détective privé - un chat baptisé Blacksad - qui contemple, désabusé, l'agitation de la grande ville en soulevant légèrement le store. Bref, du classique, se dit-on. C'est à moitié vrai. L'intrigue reste en effet dans la grande tradition du film noir. Mais le graphisme, lui, nous cueille comme un méchant uppercut au détour d'une ruelle sombre. |
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