Titre : | Le Cid ; Horace ; Polyeucte | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pierre Corneille (1606-1684), Auteur | Editeur : | Paris : Bookking international | Année de publication : | 1993 | Collection : | Classiques français | Importance : | 234 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87714-152-9 | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 82-2 Théâtre | Résumé : | Le Cid : Don Rodrigue a "du coeur" et nul n'en peut douter. Noble, vaillant, sans égal, sans rival, il possède toutes les qualités du héros classique. Mais il en a aussi tous les tourments. Don Diègue, son père, a été humilié par celui de Chimène, sa bien-aimée, et c'est à lui de laver cet outrage. Faut-il "mourir sans offenser Chimène" ou se venger et la perdre ? Doit-il préférer le devoir à la passion ? Cruel dilemme, auquel Chimène sera, à son tour, confrontée.
Horace : Rome, cité des Horaces, et Albe, cité des Curiaces, sont en guerre. Dans la famille romaine des Horaces, deux femmes maudissent cette lutte fratricide : Sabine, femme du jeune Horace et sœur des trois Curiaces, et Camille, sœur du jeune Horace et fiancée à l’un des Curiaces. Les rois ont décidé de remettre le sort de leurs cités à trois guerriers de chaque camp. Les champions désignés de part et d’autre sont les trois Horaces et les trois Curiaces. Le jeune Horace, orgueilleux et impétueux, se réjouit de cet honneur extraordinaire. Curiace, plus humain, déplore ce « triste et fier honneur ». Tous marchent au combat. Un seul en sortira vivant, au grand désespoir d’une sœur qui aura perdu deux frères et un fiancé…
Polyeucte : Polyeucte vivait en l'année 250, sous l'empereur Décius. Il était arménien, ami de Néarque, et gendre de Félix, qui avait la commission de l'empereur pour faire exécuter ses édits contre les chrétiens. Cet ami l'ayant résolu à se faire chrétien, il déchira ces édits qu'on publiait, arracha les idoles des mains de ceux qui les portaient sur les autels pour les adorer, les brisa contre terre, résista aux larmes de sa femme Pauline, que Félix employa auprès de lui pour le ramener à leur culte, et perdit la vie par l'ordre de son beau-père, sans autre baptême que celui de son sang. |
Le Cid ; Horace ; Polyeucte [texte imprimé] / Pierre Corneille (1606-1684), Auteur . - Paris (16 rue des Grands-Augustins, 75006) : Bookking international, 1993 . - 234 p.. - ( Classiques français) . ISBN : 978-2-87714-152-9 Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 82-2 Théâtre | Résumé : | Le Cid : Don Rodrigue a "du coeur" et nul n'en peut douter. Noble, vaillant, sans égal, sans rival, il possède toutes les qualités du héros classique. Mais il en a aussi tous les tourments. Don Diègue, son père, a été humilié par celui de Chimène, sa bien-aimée, et c'est à lui de laver cet outrage. Faut-il "mourir sans offenser Chimène" ou se venger et la perdre ? Doit-il préférer le devoir à la passion ? Cruel dilemme, auquel Chimène sera, à son tour, confrontée.
Horace : Rome, cité des Horaces, et Albe, cité des Curiaces, sont en guerre. Dans la famille romaine des Horaces, deux femmes maudissent cette lutte fratricide : Sabine, femme du jeune Horace et sœur des trois Curiaces, et Camille, sœur du jeune Horace et fiancée à l’un des Curiaces. Les rois ont décidé de remettre le sort de leurs cités à trois guerriers de chaque camp. Les champions désignés de part et d’autre sont les trois Horaces et les trois Curiaces. Le jeune Horace, orgueilleux et impétueux, se réjouit de cet honneur extraordinaire. Curiace, plus humain, déplore ce « triste et fier honneur ». Tous marchent au combat. Un seul en sortira vivant, au grand désespoir d’une sœur qui aura perdu deux frères et un fiancé…
Polyeucte : Polyeucte vivait en l'année 250, sous l'empereur Décius. Il était arménien, ami de Néarque, et gendre de Félix, qui avait la commission de l'empereur pour faire exécuter ses édits contre les chrétiens. Cet ami l'ayant résolu à se faire chrétien, il déchira ces édits qu'on publiait, arracha les idoles des mains de ceux qui les portaient sur les autels pour les adorer, les brisa contre terre, résista aux larmes de sa femme Pauline, que Félix employa auprès de lui pour le ramener à leur culte, et perdit la vie par l'ordre de son beau-père, sans autre baptême que celui de son sang. |
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