Titre : | Terra amata | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Marie Gustave Le Clézio (1940-....), Auteur | Editeur : | [Paris] : Gallimard | Collection : | L'imaginaire, ISSN 0151-7090 num. 391 | Importance : | 1 vol. (271-[2] p.) | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-07-075377-8 | Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | II était une fois un petit bonhomme, il avait quatre ans. II s'appelait Chancelade. On pourrait parler de quatre étapes sur le chemin de sa vie : quatre ans, douze ans et demi, l'événement de la mort de son père, vingt-deux ans et la vie commune avec Mina, sorte de long dialogue sur l'immortalité de l'âme ou non, et enfin le passage en une nuit de vingt-deux ans à quatre-vingts ans. En effet, Chancelade autrefois avait été fort frappé par un mot de sa grand-mère, un mot qu'il avait jugé être le comble de la tristesse ; elle lui avait dit et elle avait quatre-vingts ans : « La vie est si courte. » D'où la volonté de Chancelade de vivre intensément, de ne pas perdre une seconde, et d'être sans cesse au niveau de cette rumeur de la vie et de ce qui pourrait l'être. C'est donc une fête continuelle, un émerveillement, une vraie joie, mais précaire, menacée... |
Terra amata [texte imprimé] / Jean-Marie Gustave Le Clézio (1940-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, [s.d.] . - 1 vol. (271-[2] p.) ; 19 cm. - ( L'imaginaire, ISSN 0151-7090; 391) . ISBN : 2-07-075377-8 Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | II était une fois un petit bonhomme, il avait quatre ans. II s'appelait Chancelade. On pourrait parler de quatre étapes sur le chemin de sa vie : quatre ans, douze ans et demi, l'événement de la mort de son père, vingt-deux ans et la vie commune avec Mina, sorte de long dialogue sur l'immortalité de l'âme ou non, et enfin le passage en une nuit de vingt-deux ans à quatre-vingts ans. En effet, Chancelade autrefois avait été fort frappé par un mot de sa grand-mère, un mot qu'il avait jugé être le comble de la tristesse ; elle lui avait dit et elle avait quatre-vingts ans : « La vie est si courte. » D'où la volonté de Chancelade de vivre intensément, de ne pas perdre une seconde, et d'être sans cesse au niveau de cette rumeur de la vie et de ce qui pourrait l'être. C'est donc une fête continuelle, un émerveillement, une vraie joie, mais précaire, menacée... |
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