Titre : | Quentin Durward | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Walter Scott (1771-1832), Auteur | Editeur : | Office de publicité | Importance : | 320 p. | Présentation : | couv. en coul. | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Le roi Louis XI recueille une riche héritière de Bourgogne, Isabelle de Croye, qui a fui la cour de Charles le Téméraire pour éviter un mariage.
Louis XI veut livrer Isabelle à son allié La Marck, le féroce Sanglier des Ardennes. Cette machination échoue grâce à la vigilance du garde écossais Quentin Durward. Walter Scott a bouleversé son époque en réinventant le passé. Avant lui, le passé était la mort ; il en a fait du roman, c'est-à-dire un lieu toujours vivant. De ce lieu est en grande partie sorti le romantisme, et son goût pour une certaine frénésie historique et la rumeur obscure du temps : bouche d'ombre.
Mais Walter Scott, loin d'écrire à la seule écoute de cette rumeur, travaillait sur documents pour faire le plus vrai possible. Ce souci du réel lui vaut d'être à la fois romantique, par la couleur, et réaliste, par la volonté d'exactitude. Et Walter Scott donne ainsi le départ à deux mouvements contradictoires, celui de l'épopée romanesque et celui de la " comédie humaine " - la preuve : Balzac disait entreprendre " pour la société actuelle ce que Walter Scott a fait pour le Moyen Age ".
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Quentin Durward [texte imprimé] / Walter Scott (1771-1832), Auteur . - Bruxelles : Office de publicité, [s.d.] . - 320 p. : couv. en coul. Langues : Français ( fre) Résumé : | Le roi Louis XI recueille une riche héritière de Bourgogne, Isabelle de Croye, qui a fui la cour de Charles le Téméraire pour éviter un mariage.
Louis XI veut livrer Isabelle à son allié La Marck, le féroce Sanglier des Ardennes. Cette machination échoue grâce à la vigilance du garde écossais Quentin Durward. Walter Scott a bouleversé son époque en réinventant le passé. Avant lui, le passé était la mort ; il en a fait du roman, c'est-à-dire un lieu toujours vivant. De ce lieu est en grande partie sorti le romantisme, et son goût pour une certaine frénésie historique et la rumeur obscure du temps : bouche d'ombre.
Mais Walter Scott, loin d'écrire à la seule écoute de cette rumeur, travaillait sur documents pour faire le plus vrai possible. Ce souci du réel lui vaut d'être à la fois romantique, par la couleur, et réaliste, par la volonté d'exactitude. Et Walter Scott donne ainsi le départ à deux mouvements contradictoires, celui de l'épopée romanesque et celui de la " comédie humaine " - la preuve : Balzac disait entreprendre " pour la société actuelle ce que Walter Scott a fait pour le Moyen Age ".
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