Titre : | La chaleur : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Victor Jestin (1994?-....), Auteur | Editeur : | Paris : J'ai lu | Année de publication : | DL 2021 | Collection : | J'ai lu, ISSN 0291-3623 num. 12888 | Importance : | 1 vol. (146 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-290-22717-6 | Prix : | 6,90 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | "Oscar est mort parce que je l'ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d'une balançoire."Ainsi se déroule la dernière journée que passe Léonard, 17 ans, dans un camping des Landes écrasé de soleil. Cet acte irréparable, il ne se l'explique pas lui-même. Rester immobile, est-ce pareil que tuer ' Dans la panique, il enterre le corps sur la plage. Le lendemain, errant dans les allées bondées, il redoute à chaque instant d'être découvert. Et c'est alors qu'il rencontre une fille.L'histoire, courte et intense, d'un adolescent étranger au monde qui l'entoure et qui s'oppose, passivement mais de toutes ses forces, à cette injonction au bonheur que déversent les haut-parleurs du camping. |
La chaleur : roman [texte imprimé] / Victor Jestin (1994?-....), Auteur . - Paris : J'ai lu, DL 2021 . - 1 vol. (146 p.) ; 18 cm. - ( J'ai lu, ISSN 0291-3623; 12888) . ISBN : 978-2-290-22717-6 : 6,90 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | "Oscar est mort parce que je l'ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d'une balançoire."Ainsi se déroule la dernière journée que passe Léonard, 17 ans, dans un camping des Landes écrasé de soleil. Cet acte irréparable, il ne se l'explique pas lui-même. Rester immobile, est-ce pareil que tuer ' Dans la panique, il enterre le corps sur la plage. Le lendemain, errant dans les allées bondées, il redoute à chaque instant d'être découvert. Et c'est alors qu'il rencontre une fille.L'histoire, courte et intense, d'un adolescent étranger au monde qui l'entoure et qui s'oppose, passivement mais de toutes ses forces, à cette injonction au bonheur que déversent les haut-parleurs du camping. |
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