Titre : | La plus que vive | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christian Bobin (1951-....), Auteur | Editeur : | [Paris] : Gallimard | Collection : | Collection Folio, ISSN 0768-0732 num. 3108 | Importance : | 1 vol. (110 p.) | Présentation : | couv. ill. en noir | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-07-040695-4 | Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | Les oeuvres de Christian Bobin sonnent souvent comme des prières. Encensé par un large public d'inconditionnels, fustigé par quelques farouches détracteurs, le caractère quasi religieux de cette prose limpide, aérienne, s'épanouit librement dans La plus que vive. Oraison funèbre, "tombeau" à la manière des poètes de la Renaissance, on n'y trouve pourtant nulle trace de ténèbres : Bobin chante son amie morte tel un rossignol, à pleine gorge et en plein soleil. Il fouille ébloui les sources de son amour, scrute l'éclat transparent de la mort, en effleure la vitre infranchissable - du bout des doigts toujours, du bout des lèvres. Avec une grâce, une sincérité détachées de tout effet, il crée un texte fort, tout de blancheur et de neige, comme une page déchirée, vibrante de lumière. |
La plus que vive [texte imprimé] / Christian Bobin (1951-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, [s.d.] . - 1 vol. (110 p.) : couv. ill. en noir ; 18 cm. - ( Collection Folio, ISSN 0768-0732; 3108) . ISBN : 2-07-040695-4 Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | Les oeuvres de Christian Bobin sonnent souvent comme des prières. Encensé par un large public d'inconditionnels, fustigé par quelques farouches détracteurs, le caractère quasi religieux de cette prose limpide, aérienne, s'épanouit librement dans La plus que vive. Oraison funèbre, "tombeau" à la manière des poètes de la Renaissance, on n'y trouve pourtant nulle trace de ténèbres : Bobin chante son amie morte tel un rossignol, à pleine gorge et en plein soleil. Il fouille ébloui les sources de son amour, scrute l'éclat transparent de la mort, en effleure la vitre infranchissable - du bout des doigts toujours, du bout des lèvres. Avec une grâce, une sincérité détachées de tout effet, il crée un texte fort, tout de blancheur et de neige, comme une page déchirée, vibrante de lumière. |
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