Titre : | Le Pavillon des cancéreux | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alexandre Isaevitch Soljenitsyne (1918-2008), Auteur | Editeur : | Paris : Julliard | Importance : | 701 p. | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | En 1955, au début de la déstalinisation, Alexandre Soljenitsyne est exilé dans un village du Kazakhstan après huit ans de goulag. Il apprend alors qu'il est atteint d'un mal inexorable dont le seul nom est un objet de terreur. Miraculeusement épargné, il entreprendra quelques années plus tard le récit de cette expérience.
Au " pavillon des cancéreux ", quelques hommes, alités, souffrent d'un mal que l'on dit incurable. Bien que voisins de lit, Roussanov et Kostoglotov ne se parlent pas. Pour l'un, haut fonctionnaire, la réussite sociale vaut bien quelques concessions. Pour l'autre, Kostoglotov, seule compte la dignité humaine. Pour ces êtres en sursis, mais également pour Zoé la naïve, Assia la sensuelle, Vadim le passionné, c'est le sens même de leur vie qui devient le véritable enjeu de leur lutte contre la mort. Une oeuvre de vérité. |
Le Pavillon des cancéreux [texte imprimé] / Alexandre Isaevitch Soljenitsyne (1918-2008), Auteur . - Paris : Julliard, [s.d.] . - 701 p. Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 82-3 Roman en français | Résumé : | En 1955, au début de la déstalinisation, Alexandre Soljenitsyne est exilé dans un village du Kazakhstan après huit ans de goulag. Il apprend alors qu'il est atteint d'un mal inexorable dont le seul nom est un objet de terreur. Miraculeusement épargné, il entreprendra quelques années plus tard le récit de cette expérience.
Au " pavillon des cancéreux ", quelques hommes, alités, souffrent d'un mal que l'on dit incurable. Bien que voisins de lit, Roussanov et Kostoglotov ne se parlent pas. Pour l'un, haut fonctionnaire, la réussite sociale vaut bien quelques concessions. Pour l'autre, Kostoglotov, seule compte la dignité humaine. Pour ces êtres en sursis, mais également pour Zoé la naïve, Assia la sensuelle, Vadim le passionné, c'est le sens même de leur vie qui devient le véritable enjeu de leur lutte contre la mort. Une oeuvre de vérité. |
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